4 février 2009
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20:00
... de Thaïlande.
Certains sont communs comme le chien, le coq, ou le cochon sauvage, d'autres le sont moins; mais ils ont tous quelque chose de particulier, comme un soupçon d'humanité.
Ainsi, côté terre, nous avons pu croiser des chiens des villes, différents des autres, car ils portaient des tee-shirts. C'est soit-disant la mode dans les mégapoles.
Constat intéressant, ces quadrupèdes ainsi vêtus, aboyaient beaucoup moins que leurs congénères des champs.
Puis dans les villages de montagne, nous avons croisé des cochons sauvages, paisiblement affalés dans la boue, et n'attendant que l'heure du souper. Les marcassins, eux, n'attendent pas.
Dans ces mêmes villages, nous avons vu des poules, beaucoup de poules, et quelques coqs, dont celui-ci qui nous a clairement et fermement fait comprendre qu'il fallait qu'on laisse son pote tranquille !
Enfin, il y a les majestueux éléphants,
avec leur force tranquille, leur démarche pataude,
et leur fort caractère. Sur cette photo, le cornac et son éléphant se faisaient vraiment la tête, chacun boudait dans son coin ! Nous n'avons jamais su qui avait cédé, mais je ne parierais pas sur le cornac.
Côté eau, on trouve le varan des rivières ou des lacs,
des silures ou poissons-chats par milliers, nourris en abondance aux croûtons de pain ou aux croquettes pour chats.
Dans une eau plus salée, il y a la belle anémone verte et ses poissons-clowns. Là, elle est fermée, elle digère !
Par moment, on se croyait dans un paysage de montagne magique, avec les spirographes "Chritsmas trees " de toutes les couleurs,
et les raies spots bleus.
En fait, oui, c'était assez magique.
Certains sont communs comme le chien, le coq, ou le cochon sauvage, d'autres le sont moins; mais ils ont tous quelque chose de particulier, comme un soupçon d'humanité.
Ainsi, côté terre, nous avons pu croiser des chiens des villes, différents des autres, car ils portaient des tee-shirts. C'est soit-disant la mode dans les mégapoles.
Constat intéressant, ces quadrupèdes ainsi vêtus, aboyaient beaucoup moins que leurs congénères des champs.
Puis dans les villages de montagne, nous avons croisé des cochons sauvages, paisiblement affalés dans la boue, et n'attendant que l'heure du souper. Les marcassins, eux, n'attendent pas.
Dans ces mêmes villages, nous avons vu des poules, beaucoup de poules, et quelques coqs, dont celui-ci qui nous a clairement et fermement fait comprendre qu'il fallait qu'on laisse son pote tranquille !
Enfin, il y a les majestueux éléphants,
avec leur force tranquille, leur démarche pataude,
et leur fort caractère. Sur cette photo, le cornac et son éléphant se faisaient vraiment la tête, chacun boudait dans son coin ! Nous n'avons jamais su qui avait cédé, mais je ne parierais pas sur le cornac.
Côté eau, on trouve le varan des rivières ou des lacs,
des silures ou poissons-chats par milliers, nourris en abondance aux croûtons de pain ou aux croquettes pour chats.
Dans une eau plus salée, il y a la belle anémone verte et ses poissons-clowns. Là, elle est fermée, elle digère !
Par moment, on se croyait dans un paysage de montagne magique, avec les spirographes "Chritsmas trees " de toutes les couleurs,
et les raies spots bleus.
En fait, oui, c'était assez magique.